Kinshasa: un sénateur déguerpi pour de raison d’insolvabilité
Du jamais entendu depuis l’indépendance de la RDC, qu’un sénateur est déguerpi pour insolvabilité au cours de la même législature où il siege encore.
A l’époque candidat pour le fauteuil du sénat donc concurrent et adversaire de Modeste Bahati. Qui est ce ? Lui, c’est Érick Makangu, un sénateur, sous le règne du président Bahati Lukwebo, chassé comme un insolvable locataire pour un cumul des arriérés équivalent à une année.
Un sénateur ? Oui c’est vérifiable sur l’avenue des cliniques comme l’atteste ci-joint la photo du portail de la résidence ou louait Érick Makangu a coté du Restaurant Kilimandjaro dans la Commune de la Gombe.
Face à la situation, que serait la chambre de sages si par inadvertance Makangu serait élu par la population pour occuper le perchoir de la haute chambre ? La question s’adresse à sa base électorale.
En effet, il aurait dribbler son bailleur par la mirobolante de promesse jamais honorées par l’élu des élus ? se demande les personnels administratifs du sénat.
À en croire la source, son insolvabilité n’étonne aucun au regard des méthodes jadis employées pour emporter les députés provinciaux dans sa gibecière. Le feuilleton du déguerpissement se déroulait malheureusement devant son collègue du sénat qui ne cessait de se gratter la tête tout en suppliant que cette nature d’information discrédite la chambre des sages ne soit pas exploiter par la presse. Malheureusement l’homme a laissé partout des traces qui crient actuellement à sa défaveur témoignage la source oculaire et auriculaire, couvert d’anonymat.
Selon le Coordonnateur de la société civile du Bas-Uele, l’année 2023 est une année du rendez-vous entre la classe politique et la population avant de souligner « nous veillerons à ce qu’aucun dribbleur en verbe envoûte la population par des cadeaux et gestes sociaux trompeurs ».
La source promet d’autres révélations susceptibles de soulever un tollé dans la ville, à suivre…
Signalons que du côté de son électorat, au Bas-Uele, la population regrette ce choix qui demeure aphone et effacé pendant que la cause de sa province est débattu dans l’institution ou Érick Makangu siège.
Rédaction