RDC: 2ème anniversaire du Magazine « Bamfumu balobi », Christian Yuya appelle les Teke-Umbu à l’unité car, « une vision ne peut que s’accomplir dans l’unité »
Le journaliste et spécialiste des questions coutumières, Christian Yuya a célébré avec faste les 2 ans d’existence du magazine sociaux-culturel « Bafumu Balobi », dont-il est l’initiateur et coordonnateur principal.
Ce 2ème anniversaire a été célébré le 26 août dernier dans la somptueuse salle de Bianca Hotel, dans la commune de Kasa-vubu à Kinshasa, en présence de plusieurs chefs coutumier notamment: Libilime Nkodi le cardinal du village Djelo Binza, la cheffe coutumière du village, Bweme du plateau de Bateke…hormis le chef coutumier Willy Mabiala Aigle, qui a brillé par son absence suite des préparatifs de la cérémonie officielle de son intronisation qui a lieu le lendemain.
Au cours de cette cérémonie haute en couleur, le patron du magazine « Bafumu balobi », Christian Yuya c’est exprimé en ces termes: ce 2 ème anniversaire est célèbré dans la réflexion, la joie et le partage. Nous avons lancé officiellement ce projet en 2020, l’objectif principal se situe dans l’information, l’analyse et permettre au sans voix de s’exprimer librement sans ambages. Ce qui fait que les chefs coutumiers de tout bort se bousculent pour passer à cette émission, affirme Christian Yuya.
Et d’ajouter, durant 2 années de son existence, nous avons connu plusieurs difficultés d’ordre économique, financier et logistique. Mais, le magazine monte toujours en puissance et actuellement, « Bafumu Balobi », est devenu le magazine socio-cutlurel le plus suivi grâce à son contenu authentique.
À lui de renchérir, « Au cours de nos émissions, nous invitons les congolaises et congolais à réfléchir sur les voies et moyens nécessaires, non seulement pour revaloriser le pouvoir coutumier, mais surtout de s’investir, aux côtés des des autorités et de gouvernement, pour qu’ensemble, l’on puisse promouvoir à l’édification d’un congo stable et unie, soucieuse du bien-être de la population et du développement de toutes les contrées », conclu-t-il.
Times.cd/Francis Luende