Culture : les œuvres de Jean In Bofane en honneurs à Wallonie Bruxelles
Organisée par le Cercle des Ecrivains Congolais et la Délégation Générale du Centre Wallonie- Bruxelles à la Bibliothèque du Centre, sous le coup de 15 heures et demie, heure locale. Le « Jean Bofane Master class » est une occasion pour les amoureux de la littérature congolaise de vivre le bons moments de la vie, en baignant aux eaux profondes et aux vagues des œuvres du gourou de la littérature du pays Zamenga.
Deux heure durant lesquelles, les followers de la culture littéraire ont exploitées la grande forêt de l’écriture de In Koli Bofane.
Dans la foulée, l’écrivain congolais a du parlé des difficultés entre un auteur et sa maison d’ édition. Tout en encourage les jeunes plumes du pays à s’ efforcer dans la littérature bien que, le pays des maisons des éditions sérieuses, mais aussi des grandes maisons à cause de la situation économique et sociale que traverse le pays .
Né à Mbandaka en 1960, il va quitter son Congo natal en 1993 pour la Belgique.
Un exil non souhaité, car son pays était secoué par la grande crise économique, politique et sociale qui annoncée sonner le glas du départ de Maréchal de Mobutu, qui le peint dans son premier oeuvre sortie en 1996 aux éditions Gallimard dénommée » Pourquoi, le lion n’est pas le Roi des animaux » .
Et il va publié les années plus tard, une œuvre, qui va mettre fin avec sa première maison » Gallimard « , « Bibi le Canard en 2000.
Il renaît de propres cendres en littérature en 2008 avec « La Mathématique congolaise », une fresque transversale qui brosse en même dans les ménages de congolais, la manipulation politiciennes, la « la Guerre de l’ Est », et comment les congolais calculent leurs vies.
Œuvre qui fera son ascension au Continent et au monde avec beaucoup de nominations, puis s’en est suivi du Grand Prix de la littérature de l’ Afrique noire en 2009.
Jean in Koli Bofane a peint de nombreux tableaux qui concernent notre Planète.
Le Génocide Rwando-ougandais, La Guerre de Kosovo, l’ invasion américaine en Irak, le moult Coups d’ états opérés au Continent, le monde arabe et son racisme contre le, « retracé dans son roman » La Belle de Casa », le Printemps arabe etc. Cet écrivain une voix de la conscience, un narrateur des causes juxtaposées avec des intrigues pleins de chiasmes. atteindre la note explicative du critique de Jean- Paul Ilopi.
À savoir, Jean In Koli Bofane avait reçu l’ année dernière le prestigieux » Prix Makomi » organisé par le Cercle des ecrivains congolais.
Pour ce faire, une pompe d’applaudissements a été acclamée à son honneur par l’assistance et désormais son effigie est aggravée à la Bibliothèque, une sorte d’ empreinte qui honore les ecrivains du pays.
Son tableau est le sixième posé pour un ecrivain en vue.
Une anecdote, Jean In Koli Bofane est surnommé le » Papa Wemba de la littérature « , à cause son amour infini pour la sape.
Barca Horly