RDC – Gestion orthodoxe de l’établissement, l’application des lois et règlements de l’acquisition d’un immeuble pour abriter la direction générale du FOMIN :Jules Alingete agité
Faisant passer ses intérêts personnels au détriment des générations futures, Jules Alingete choisi l’arbitraire et mène la guerre contre le gouvernement Congolais, les lois et règlements de la République et oriente son artillerie d’arbitraire contre le FOMIN.
Le maux de la guerre c’est la recherche effrénée de 40% de rétro commission que Monsieur Alingete réclame à titre de prime d’aviseuer même pour les ressources du FOMIN jugé indisponibles de par la loi. Un des cas les plus flagrants c’est le projet d’achat de l’immeuble situé sur le boulevard du 30 juin que le FOMIN veut acquérir sur ses fonds propres après l’autorisation du conseil d’administration et du Gouvernement.
Le patron de l’IGF s’oppose mordicus à l’acquisition de ce bien au profit des générations futures et exige que l’argent soit versé au trésor public pour lui permettre de retirer ses 40 %. La raison évoquée est un excédent de gestion, un bénéfice à verser au trésor public, oubliant de manière cynique et en violation de la loi sur les vieux parlementaires aguerris.
Outre , dossier à la base de ce conflit c’est de nomination par le gouvernement des Commissaires de Comptes et leur mise en œuvre Sue Alingete ne veut pas attendre parler. Cet organe de contrôle interne fait manquer du sommeil à l’IGF qui exerçait avant son arrivée ses attributions.
L’activation de cet organe et l’accueil de son animateur par les responsables du FOMIN irrite Alingete qui crue à la Concurrence des compétences oubliant qu’en droit administratif les droits sont d’attribution. L’inspecteur chef de service veut rester seul contrôleur des établissements publics , point question d’autres.
L’opinion s’interroge ainsi si Jules Alingete serait-il un monstre au-dessus des lois, au-dessus des instances judiciaires de la République!Il est tout à fait arbitraire…
Les établissements publics, les lois de finances ainsi que le décret créant le FOMIN n’est pas un établissement que ne peut réaliser des bénéfices.
La cour d’appel de Kinshasa Gombe est éloquente dans son arrêt RA 688 notifié à la DGRAD et Alingete Kye qui, après avoir perdu procès persistait dans la faute allant même jusqu’à la mise en écart du Directeur général du FOMIN et président du conseil d’administration ad-interim.
Ce gendarme financier congolais réprochet-il aux gestionnaires la gestion orthodoxe ou veut-il les entraîner dans le chaos ? En tout cas, la tâche lui sera difficile car il a en face de lui des parlementaires aguerris.