Culture : le duo Jessica Ntumba et Sylvain Nsana prennent la tête du Collectif Envie d’écrire, respectivement Présidente et Vice – Président

Habemus Papam ( nous avons un pape), formule qui se dit lors de l’annonce du nouveau pape après la fumée blanche au Vatican. La fumée blanche s’est dégagée le samedi 12 août dernier au Centre culturel Miezi, la première Basilique de littérature locale du pays, où le Collectif Envie d’Ecrire a procédé par l’entremise des services de la modération de Maître Kibende Nazareth, ancien Vice-président de ce cartel des gens des lettres au passage, à la nouvelle équipe du bâton relais de commandement. Il s’agit bien du tandem Jessica NTUMBA et Sylvain NSANA respectivement Présidente et vice-président.

Cette cérémonie de couronnement a eu lieu en marge d’un concert slam micro- ouvert animé par Lyricoman NGOBANI, l’initiateur et premier président de la dite association en présence de Lemarc Bamenga, ancien vice-président, de Djodji Belau, ancien président de l’Ajeco, de la légende du slam congolais Negue Fly, Christian Gombo,une grande étoile de Hall of Fame de notre littérature et un parterre d’invités de marque.

Par ailleurs, il sied de rappeler que cette passation pacifique des pouvoirs est intervenue à la suite de la démission de l’ancien Président de ce mouvement littéraire en personne de David Muteba qui a justifié d’un agenda chargé de sa part.

De ce qui précède, le Collectif d’Envie d’Écrire, est un cadre culturel littéraire pour la grande promotion des pépites, prodiges, apprentis et gourous de la plume afin de pérenniser après la tradition orale des nos dignes aïeux, l’expression collective de l’âme congolaise dans toutes ses cordes émotionnelles à partir de l’écriture et de la lecture. Aujourd’hui, le devenir de cette structure repose désormais entre des bonnes mains, celles des virtuoses en la matières soit Jessica Ntumba, capitaine de Vaisseau ( Presidente)et Silvain Nsana, son Contre-maître ( Vice-président) afin de faire mieux que le passé tel que recommandé dans l’histoire des hommes et des institutions ( « Oyo tokoloba lelo eleka oyo tolobaki lobi »), eloba Fally Ipupa.

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