Mise au point du Comité Directeur de la Presse parlementaire du Congo( PPC) à monsieur Blanchard Dikambi ( l’actuel homme fort du palais peuple)
La corporation de la Presse Parlementaire du Congo réunissant en son sein plusieurs organes de presse et reconnue par l’État congolais par « acte notarial numéro 77.558 Folio 26-138 volume MCDL », s’indigne du comportement malsain et irresponsable qu’affiche monsieur Blanchard Dikambi, coordonnateur de la cellule de communication de l’Assemblée Nationale.
Ce dernier se considère être le tout puissant et l’homme fort du moment du palais du peuple, tout en oubliant son rôle qu’il est sensé jouer au sein de la deuxième institution de la République. Ces agissements d’immaturité prouvent à suffisance que le sieur Blanchard fait preuve de manque de professionnalisme et de respect mutuel à l’endroit de ses confrères.
La Presse Parlementaire du Congo rappelle à l’opinion publique que depuis l’organisation de la soit disante marche de soutien aux FARDC à laquelle, ce dernier avait associé les journalistes membres de la PPC par le concours de son président Justin KIFUTA KIBULA, et à l’issue de laquelle, les membres de notre corporation ont été traité comme « les garçons de course » de monsieur Blanchard car n’ayant pas respecté équitablement les journalistes participants à la dite marche. Le précité avait brillé par l’injustice notoire en privilégiant quelques confrères au détriment de membres de la Presse Parlementaire du Congo.
En regardant de mauvais oeil ce traitement dont étaient victimes ces derniers, ils ont brisé le silence pour réclamer leur droit auprès de monsieur Blanchard, étant donné que les journalistes accompagnent les institutions de la République par l’exercice de leur métier et non par des marches et ce, conformément aux textes régissant la presse en RDC.
Depuis lors, ce gangster et prétendu intouchable se comporte, indignement vis-à-vis de ses confrères parlementaire, et il commence à envoyer ses acolytes parmi lesquels se trouve un certain Benjamin bulembi pour s’attaquer ouvertement au président Justin KIFUTA KIBULA, par des menaces verbales et sur les réseaux sociaux. Comme cela ne suffisait pas, il se porte garant de la division au sein de la corporation et octroye des badges à ses adeptes, tout en se permettant de conditionner l’accès au palais du peuple et dans la salle des plénières, qu’à cela qui sont de son obédience et ce, en complicité avec une prétendue structure qui n’existe que de nom, n’ayant ni statuts, ni règlement intérieur, moins encore le document officiel de l’hôtel de Ville. Cet comportement irresponsable a été constaté lors de la cérémonie solennelle de la rentrée parlementaire de la session de septembre, qui a lieu le 15 septembre 2022.
La corporation Presse Parlementaire du Congo légalement reconnue informe l’opinion publique, les autorités politico-administratives du palais du peuple ainsi que les organisations des journalistes en République Démocratique du Congo, entre autres l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) , qu’elle ne se laissera intimidée par monsieur Blanchard , jusqu’à ce que tous ses membres soient rétablis dans leur droit.
Ce dernier a même donné l’ordre aux agents de sécurité du palais du peuple d’empêcher l’accès aux journalistes membres de la Presse Parlementaire du Congo, Chose étonnante, la sécurité s’incline malheureusement à cet ordre manifestement mal donné et qui viole intentionnellement les dispositions de la constitution de la République Démocratique du Congo qui stipulent que les plénières sont publique , et qui consacrent la liberté d’expression ainsi que le droit à l’information.
La corporation demande par la même occasion à l’honorable président de l’Assemblée nationale, qui du reste, est un homme de paix, compréhensif et humble de cœur, et au rapporteur de la chambre basse du parlement, qui est le patron du service de communication de rappeler à l’ordre leur collaborateur, nous citons, monsieur Blanchard dikambi de bien jouer son rôle qui ne se limite qu’à la coordination de la cellule de communication. Dans le cas contraire, la corporation de la Presse Parlementaire du Congo utilisera toutes les voies légales, en saisissant la commission de discipline de l’Union Nationale de la Presse du Congo( UNPC) et le JED( Journaliste E
en Danger) enfin que nous soyons rétabli dans nos droits.
Comité directeur