Kinshasa : Le risque des avortements et l’applicabilité du protocole de Maputo, au centre d’une matinée scientifique

Dans plusieurs pays du monde , l’avortement ne pose plus de problème même au niveau juridique, c’est le cas de du Portugal, Luxembourg, Irlande, Chypre, par contre les textes de la législation de la République démocratique du Congo sanctionne tout acte d’avortement. Dans un autre son de cloche le protocole de Maputo autorise les pays signataires a avoir accès à l’avortement .

C’est dans ce cadre qu’une matinée Scientifique d’échange a été organisé ce samedi 15 octobre, par Cortex Santé Rdc en collaboration avec l’Union des jeunes avocats (UJA) dans la salle de conférence de Rotana kin Plaza.

Plusieurs personnalités du monde scientifique ont pris part à cette activité, entre les professeurs, les médecins, les étudiants, les magistrats et les avocats.

Ceci rejoint naturellement la lutte que poursuit la dite de structure Cortex Santé Rdc, d’être une plate forme d’échange entre les corps des enseignants et d’ailleurs afin de permettre aux professionnels de la santé Congolais d’accéder au progrès de la science médicale.

Au cours de cette activité, l’assistance a eu l’honneur d’accueillir le professeur Docteur Roger MBUNGU MWIMBA, Doyen de la faculté de la médecine à l’Université de Kinshasa et spécialiste en gynécologie obstétrique.

Dans son exposé, ce dernier s’est penché sur les avortements , aspects médical ( clinique ) et prise en charge .
Quand aux aspects juridiques, l’auditoire a été suffisamment éclairé par la communication donné par Maître Levin.
Il faut dire que sa communication s’est focalisé sur la protection de l’être prénatal du protocole de Maputo. Tandis que Docteur SENGA de la structure DKT s’est apesanti sur les méthodes de contraception afin de limiter les risques des avortements.

Rédaction

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